Au cœur de mes recherches

Pour connaître les origines de mes recherches, c’est .
Suite de l’entrevue (interview en français).


Pour ménager la complexité et rendre la vie simple, j’ai cherché à décrire, expliquer, reproduire ou amplifier les mécanismes de la pensée, à savoir comment une personne, un corps ou un système complexe traite l’information pour  :

  • – l’acquérir ;
  • – l’utiliser ;
  • – l’organiser ;
  • – la maintenir ;
  • – et l’enrichir.

– En résumé ?
– En résumé cela se nomme les sciences cognitives.

– Ça fait sérieux !
– C’est un truc du français, utiliser des termes latins ou grecs pour faire sérieux. Cognitives veut simplement dire de la connaissance.

– Il me semble que la plupart des scientifiques l’utilisent pour fabriquer de l’intelligence artificielle.
– C’est sans doute vrai. Mais comme je préfère travailler avec des personnes, disons que je suis spécialisé dans l’intelligence naturelle. 😉

– Pouvez-vous nous en dire plus sur les sciences cognitives ?
– J’ai étudié les disciplines qui les composent, à savoir :

la philosophie
la psychologie
l’anthropologie
la linguistique
la neurologie ou les neurosciences
l’informatique et l’intelligence artificielle.

– Le choix des images est amusant, surtout pour l’anthropologie.
– J’ai choisi l’image de l’humanité mise sur la sonde Pioneer, envoyée dans l’espace pour contacter d’autres intelligences… Je pourrais vous en parler des heures !

– Je n’en doute pas. Intelligence naturelle disiez-vous ?
– Oui, comme je préfère les gens aux machines, je me suis intéressé à la pédagogie et j’ai relancé la noématique.

– La noématique ?… C’est du grec ?
– Tout à fait. C’est la discipline qui étudie les noèmes

– Les noèmes ?…
– Les éléments de base qui constituent notre pensée. D’après mes recherches, la pensée humaine est comme un langage composé de trente-deux lettres (les noèmes). Je les ai décrits dans un premier ouvrage publié fin 2019, Les 32 joyaux de la pensée.

– 32 et c’est tout ?
– Je ne dis pas avoir tout trouvé. J’utilise toujours une démarche scientifique, donc réfutable. Je propose un modèle qui tient la route jusqu’à preuve du contraire.

– Et qui dit ?
D’après mes recherches, la pensée humaine est comme une langue qui s’écrit avec un alphabet de 32 lettres. Il reste à explorer les mots, les phrases, les romans que l’on peut écrire avec. Ils ne détruisent pas la complexité de la pensée humaine, ils la rendent lisible.

– C’est vérifié ?
– Je ne l’ai pas vérifié chez nos sept milliards de congénères, ni avec les vingt milliards d’êtres humains qui auraient existé sur Terre.
Au demeurant, en trente ans de recherches, je l’ai vérifié :
– avec des milliers de personnes de tout âge ;
– dans différentes disciplines, scientifiques comme littéraires, etc. ;
– sur divers secteurs professionnels.

– Et ça sert à quoi ?
– Connaissant l’alphabet de votre pensée, je peux vous apprendre à la décoder et la mettre à votre service.

– C’est déjà pas mal. Et le corps ?
– Alors, grâce à une autre de mes inventions, l’échelle de compréhension, je peux transposer n’importe quelle connaissance sur le plan corporel. Vous devenez ce que vous cherchez à comprendre.

– Ça a l’air magique !
– Même si les personnes trouvent cela enthousiasmant de pouvoir vivre avec leur corps n’importe quel concept, c’est juste de la science.

– Vos recherches sont terminées alors ?
– Non, mais je donne la priorité à la diffusion de mes découvertes afin d’être utile au plus grand nombre. Notamment les programmes d’accélération.

– Qu’est-ce à dire ?
La suite est .

Translate »